Je ne sais pas si tu connais et si tu as vu les deux derniers épisodes de Temps Présent diffusés par la RTS (radio télévision suisse), si ce n’est pas le cas je t’invite à le faire et à te créer ta propre opinion.
Voici le lien de rediffusion ; ici
Le but ici n’est pas de parler du sujet de fond de la question de genres et d’appartenance de genre et sexuelle.
En tant que femme, j’ai été profondément mal à l’aise et choquée par les débats qui n’en étaient pas et par l’opposition des hommes et des femmes particulièrement.
Cette vague de féminisme « radical » ne sert en rien les femmes et personnellement et en tant que femme, je ne veux jamais être liée à cette façon de voir la vie, quelle tristesse et quelle agressivité…
Selon moi, c’est toxique pour les hommes mais aussi pour les femmes. Car au lieu d’aider les liens hommes femmes, c’est le contraire qui se passe! Ca créé un vrai gap entre les hommes et les femmes.
Comment est ce que les femmes qui tiennent ce genre de propos – et donc qui voient la vie sous ce prisme – pensent qu’elles pourront un jour se sentir à l’aise et confortable face à un homme ?
Agir et tenir des propos si extrêmes et si agressifs ne fait que démontrer le malaise de ces femmes, la peur qu’elles ont des hommes et probablement leurs mauvaises expériences.
Mais s’il te plaît, ne le prend jamais personnellement, quoi qu’une personne émette comme jugement de manière générale dans la vie, cela veut plus dire de choses sur elle-même que sur la personne qu’elle juge.
Me concernant, ayant voyagé seule pendant 26 mois entre l’Asie et l’Amérique, dans des endroits parfois peu fréquentables, je ne me suis JAMAIS sentie en insécurité. Peut être que j’ai eu de la chance ? Ou peut être que je vois les interactions hommes femmes différemment ? En tout cas, je ne les vois pas avec un filtre dominant/dominé, bourreau/victime.
C’est sans doute volontaire et provocatif, mais je rejoints l’intervenant qui dans le documentaire dit : « Les femmes ont un jour choisi de devenir victimes ». C’est dur, c’est provocant mais je rejoints cette façon de penser. Et je l’assume, étant une femme.
Comme tout, dans la sphère privée ou professionnelle, on a tous la responsabilité de nos vies et d’avancer, sur notre propre chemin personnel, pour atteindre nos objectifs, se sentir bien avec soi et avec les autres.
C’est à mon sens un vrai problème de société et en tant que femme, il me tient à cœur de contrer ces courants toxiques et soutenir les hommes dans leur interactions.